Le vent caressait son visage, murmurant à son oreilles des souvenirs lointains. Sur la colline, elle regardait le paysage, retenant surement quelques larmes. Toujours et constamment rattrapée par le passé, elle restait là, debout et gardant comme elle pouvait la tête haute et le visage impassible à la douleur la dévorant. Elle se rappelait des souvenirs d'enfance, son enfance si proche de la fin, elle avait 17ans, il ne restait plus qu'un ans avant que tout sois finit. Qu'une seule et unique année, c'était bien trop cours pour laver ces souillures de son passer. Elle avait peur que à jamais, elle soit condamnée à erré seule, triste et vide. Sa main, qui pourtant semblait si sure en tenant fermement sa faux tremblait légèrement. De l'espoir ? Elle n'en avait aucun, elle n'osait pas espéré que quelque chose ou quelqu'un lui permet d'oublier sa douleur, d'effacer sa haine pour les autres, de changer son âge, ses souvenirs et ses pensées. Elle était en Noerphilie certes, elle était armée d'un pouvoir obscur et d’une faux menaçante, mais dans le fond, elle sentait toujours aussi faible, faible face à la solitude.
"-Les souvenirs qui avant me rendaient heureusement me fond mal..." c'était les paroles qu'elle murmurait en baissant légèrement la tête. Ses mains se crispait, tendue, ravagée et déchirée intérieurement. A l'époque ou elle avait encore confiance en cet ami dont jamais elle aurait put douter de la sincérité, il lui suffisait de pensée aux beaux moment vécu ensemble pour sourire, mais maintenant, elle était incapable de sourire face à ces souvenirs. Elle retenait ses larmes, l'une d'elle coulât sur son visage. Elle sentait comme le besoin d'hurler alors qu'elle sentit comme une profonde lame pénétrer son cœur. La douleur provoqué par les sentiment pouvait se montrer bien plus violente qu'un véritable coup de couteau mordant de la chair sanglante.
"Je te déteste..."Elle relevat doucement la tête, essuyant rapidement la larme qui pendait sur sa joue. Elle refusait de pleurer pour une personne qui au final lui à fait du mal. Le venait alors l'impitoyable désir de vengeance. Une vengeance froide, sombre et cruelle. Cet enfant qui avant était plus petit qu'elle et était aussi solitaire qu'elle... qui maintenant la dépassait d’une tête de par une poussée de croissance durant les quelques années sans voir son visage... qui maintenant, étaient entouré de ceux qui avait fait de sa vie un véritable enfer... elle ne souhaitait plus qu'une seule et uniquement chose pour cette personne, qu'il soit seul, qu'il souffre, qu'il ne connaisse pas le bonheur, qu'il périt seul, qu'il meurt... de sa propre main...
Alors qu'elle était plonger dans ses pensées, elle entendit des pas venir de derrière elle et vit une ombre masculine se dessiner sur le sol. Dos au soleil, elle pue voir nettement et clairement sans même se retourner que quelque venait droit vers elle. Par réflexe, elle serrât encore plus fermement sa faux dans sa main, la lame brillante au soleil. Devant ses yeux apparut alors un jeune homme bien plus grand qu'elle, une sorte d'énergumène qui, sans aucune raison valable augmente le son de sa musique, cela ressemblait presque à une provocation. Une provocation qui faisait quelque peux pitié, elle avait vue bien pire que ça après tout.
La musique troublât alors la paisibilité de cette colline. L'imposant jeune homme parlât, comme si il avait tout les droits de venir ainsi sans se présenter et sans aucune salutation. Kuroka ne supportait pas cette sorte de familiarité, alors pas conséquent, son alter égo, Necra le supportait encore moins. Néanmoins, la jeune fille cornue restât muette, ne parlant pas à cette sorte d'énergumène qui se tenait devant elle, et refusant de se retiré devant un être aussi pathétique que lui. Elle était prête à en payer le prix.
Et le prix de ce silence arrivant, montant rapidement sur ses grands chevaux, le rebelle plaquât violemment celle à l'apparence de diablesse contre un rocher non loin derrière elle. Le choc contre le roc laissât la demoiselle lâcher un faible grognement de douleur légèrement mélanger de colère. Puis finalement elle se mit à sourire, en fait... c'était splendide de voir cet imbécile ce défoulé sur elle. Contrairement à ce qui arrive bien souvent dans la réalité, il s'attaquait à elle seul, et non pas en bande. Alors, elle répondit finalement à ce jeune homme qui attendait sois disant une réponse.
-Yu veux une réponse ? Et bien ouvre bien grand tes oreilles... je ne suis pas perdue... car contrairement à toi... je ne cède pas si facilement à la rage et à la folie devant la solitude. A l'inverse.. je préfère plutôt lui tendre les bras !Sur ses paroles clair, net, froide et distinct, une chaine sortit tout droit de nul part s’enroulât autour de la cheville du jeune homme et le tira à la direction opposée de ce que le jeune homme avait fait l'erreur de comparé à une poupée "inoffensive". La jeune fille se relevât alors, une chaine aussi noire que celle s'attaquant faiblement au jeune homme tombait en dehors de sa robe pour se fendre sur le sol. Puis tel, une illusion elle se volatilisât d'un simple mouvement de la main de celle qui portait des cornes sur sa tête.
-Maintenant, je vais te demander poliment de bien me faire la faveur de partir hors de ma vue... "s'il te plait" J'aimerais pas rédiger une liste de personne dont je devrais me débarrasser.Sur ces mots, elle se mit sur le défensive, sa faux en avant qu'elle tenait dans ses deux mains, prête à agir si jamais la personne en face d'elle, qui semblait être uniquement là pour la provoquer, cherchait à creuser le conflit, ce qui était au yeux de la jeune fille qui voyait une menace à travers n'importe qui, très probable.