A Iteku : Caractère :Les mots sont des armes qu'il manie sans aucune difficulté, ils se veulent presque toujours rassurants, réconfortants, il soulage souvent les âmes en peine, les mots deviennent ainsi instrument de guérison dans les profondeurs de l'esprit, là où des outils habituels ne peuvent atteindre le mal. Pour autant, ils peuvent également faire ravage. Parfois lui vint l'envie d’insuffler son doux poison dans une oreille fragile, plaisir qu'il renie, mais qui pourtant marque sa langue, viciosité inexpliquée. Il aime plaire et séduire, son inconscient veut provoquer désir et passion, battre les cœurs et brûler les corps. L'homme se veut gentil et altruiste, il a sans cesse ce sourire chaleureux fiché sur le visage, incrusté dans cette face qui rarement s'en délaisse, c'est une chose qu'il porte à la perfection, on pourrait presque croire qu'il en est toujours ainsi, qu'il est toujours ce sympathique collègue et infirmier, celui qui ne dit jamais non, celui qui ne rechigne jamais à aider, jamais blessant toujours charmant. Mais parfois cette image, elle se casse, il y a quelque chose qui s'écroule, un voile sombre qui tombe sur ce visage, il y a plus de chaleur, plus de lumière, il devient marbre froid, homme de pierre. Première étape qui n’annonce rien de bon, sa respiration s'accélère, la tempête guette, et si rien ne s'arrange, il y a éruption. La roche fusionne, torrent de lave dans ses veines, violence sauvage qui explose, comportement de bête et réaction d'imprévisible. Moment qu'il évite, son cœur et ses membres, rarement, s’embrasent de part le contrôle de son esprit, mais il est déconseillé de pousser trop à bout l'animal.
Physique : Les regards qui se croisent et on se perd dans cette immensité qui s'offre à nous, iceberg ou océan, l'iris semble être capable d'arborer diverses nuances bleutées, gris ciel et profondeur marine, on s'y délaisse et on s'enfonce. On ne devine pas facilement les origines japonaises qui semblent s'être lointainement enterrées dans ADN, le voilà qui culmine à une hauteur plus que raisonnable, à 1m 85, on ne touche pas les étoiles, mais on est pourtant loin du sol. Cheveux de nuit qui s’entassent sur sa tête. Corps qu'il entraîne sans lassitude, sport qu'il pratique sans relâche, torse musclé dénué de tout parasite graisseux. Physique qu'il adore, qu'il vénère et qu'il n'hésite pas à mettre en avant. Douce tristesse quand il le recouvre de vêtements choisis avec soin, souvent des chemises qu'il orne de cravates quand il n'est pas vêtu de sa blouse blanche. Un style vestimentaire qui n'a rien d'extravagant, allure souvent professionnelle. En Noerphilie : Des cheveux qui s'allongent et qui s’éclaircissent légèrement, ils brillent sous la lumière et se balancent au gré du vent. Les yeux restent étrangement les mêmes, le prisme des couleurs est conservé, seule repère que ce nouveau monde lui permet de garder. Il y a tous les traits qui s’affinent, puis, il y a ce corps tant aimé qui s'emplit de courbes séductrices, en revoir au masculin, l'homme devient femme. Son caractère s'adapte légèrement à cette nouvelle forme, serpent qui se trimbale en tenue d'écolière, ça aime tout autant tromper qu'aider, ça charme souvent et combat tout autant. l'être est troublé par les passions et les désirs qu'il voudrait décrocher.
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