De délicieux personnages ces Parreviens, vraiment.
J'avais pu passer la nuit chez l'un de ces villageois aux goûts rustiques. Une petite famille dont leur fille m'avait été extrêmement chaleureuse cette nuit, et je ne pensais pas qu'à son accueil.
Quoiqu'il en soit, c'était une véritable expérience de pouvoir évoluer parmi ces gens. Malgré le fait qu'ils étaient prévisibles au possible, presque réglés comme des machines ils semblaient dotés d'une conscience mais à quel point je l'ignorais. Ils ont beau ne pas exister à Iteku, leur existence soulève énormément de questions dans mon subconscient, j'aime énormément les observer et comprendre comment ils réfléchissent et agissent, ce sont des êtres agréables et paisibles. La preuve, ces derniers m'aident à me préparer pour le bal masqué De délicieux personnages ces Parreviens, vraiment.
J'avais pu passer la nuit chez l'un de ces villageois aux goûts rustiques. Une petite famille dont leur fille m'avait été extrêmement chaleureuse cette nuit, et je ne pensais pas qu'à son accueil.
Quoiqu'il en soit, c'était une véritable expérience de pouvoir évoluer parmi ces gens. Malgré le fait qu'ils étaient prévisibles au possible, presque réglés comme des machines ils semblaient dotés d'une conscience mais à quel point je l'ignorais. Ils ont beau ne pas exister à Iteku, leur existence soulève énormément de questions dans mon subconscient, j'aime énormément les observer et comprendre comment ils réfléchissent et agissent, ce sont des êtres agréables et paisibles.
En me comportant comme un simple spectateur et en appréciant les petits plaisirs de la vie, je me demandais comment dans le monde réel je pouvais être aussi différent de ce que je suis en Noerphilie.

Mais pour en venir au plus important c’est ce bal masqué qui a été organisé. La maîtresse de maison qui est la bonté incarnée tient à bout de mains un long miroir à pieds pour que je puisse m’admirer et faire mon auto-critique. Ces gens sont vraiment surprenants, je n’ai rien à redire. Pour ce qui est de mon choix vestimentaire j’avais cru comprendre que pour le dress-code certains accessoires étaient exigés. Portant un costume trois pièces d’un bleu nuit tirant sur le violet, le tout sublimé d’une broche or blanc sur le col, je me sens déjà presque satisfait. Cette mère au foyer qui s’occupait de me tendre un miroir pour me contempler, me sortit de nulle part ce que l’on pourrait appeler en Europe une paire de Richelieu en daim noir. Ces villageois sont plein de surprises, mais étant reconverti en parfait gentleman à Parrev je ne peux accepter ce genre de cadeaux. Au vu de sa réaction, le refus semble être prohibé dans ce monde féerique. Cela me fait penser au grand-mère qui vous goinfre comme des oies et à qui vous ne pouvez rien refuser car elle ne vous voit pas souvent. La situation m’amuse, et j’accepte le don de cette femme qui n’a pas l’air de rouler sur l’or mais qui pourtant m’offre des chaussures de luxe.
C’est ce genre de réaction qui me fait vibrer, j’aime voir ce genre d’acte, les observer et les disséquer de mon oeil.
Quoiqu’il en soit je continue mon petit essayage. Je me tente à mettre un veston bleu prusse sous ma veste ainsi qu’une cravate d’un ton plus foncée, puis j’enfile des gants blancs qui s’accorderont parfaitement avec ma chemise en lin blanche également. C’est plutôt pas mal, je me complais dans cette tenue. Puis enfin j’arrive à la touche finale : le masque, qui est vivement conseillé par le dress-code.
Mais en le prenant du bout des doigts par l’élastique, je réalise que mon cache-oeil est un problème, je dois donc faire un choix. En réfléchissant quelques minutes, j’en viens à la conclusion que ce sera sûrement une soirée exceptionnelle, alors autant abandonner mon cache-oeil ainsi que mon holster avec mes armes chez mes hôtes, je le garderai sur mon oeil jusqu’à l’endroit des festivités puis je changerai à l’entrée. C’est bon, j’étais prêt.

En arrivant à l’entrée, le tout sans aucun moyen de locomotion, je me félicitais de ma ponctualité ce qui était quelque chose de rare. J’observais les différentes personnes rentrer : seul, accompagné, en groupe, en couple mais tous portaient un masque extravagant ou non. Je me retirai dans un coin près de l’entrée principale et j’enfilais mon masque dont j’avais rafistolé et obstrué le trou pour un seul oeil. J’étais plein d’imagination ce soir, j’avais réussi à faire le seul masque borgne de cette soirée. Une fois l’accessoire sur mon visage je rentrais un sourire taquin au bout des lèvres en remarquant la présence de nombreuses merveilleuses créatures dans des robes de princesses tout droit sorties des plus beaux contes de fées.
Sur le chemin pour la grande salle on me proposa à de nombreuses reprises de me débarrasser de mes affaires, de nombreux cocktails ou si j’étais venu accompagné. Un verre de rosé à la main je pouvais me congratuler d’avoir pu donner uniquement des réponses négatives.
En entrant dans l’immense pièce où se déroulait les festivités, une effusion d’odeurs délicieuses ravivaient mon odorat alors que l’orchestre quant à lui jouait des sons plaisants à mon oreille. Mais surtout plus important, c’est le buffet qui m’interpella et qui m’attira inexorablement jusqu’à ce que je m’y retrouve avec quelques petits fours dans les mains. Tout en mangeant mon regard se portait sur tout ce qui m’entourait et je remarquais qu’un homme près de moi quittait le soudainement le buffet, j’avais pu remarquer que lui aussi avait de beaux yeux vairons et un goût prononcé pour le style vestimentaire de la Renaissance.
Juste manger me laissait ironiquement sur ma faim, en scrutant la salle j’espérais que je trouverais quelque chose ou quelqu’un qui serait intéressant pour que cette soirée qui venait tout juste de commencer soit réussie.

N'ayant aucune réponse, j'archive le rp. N'hésite pas à m'envoyer un mp enfin que je puisse rouvrir le sujet ^^