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| Katsujiro Ito : comment retrouver une âme d'enfant même dans le meurtre ? [Terminé !] | |
| Invité | Sujet: Katsujiro Ito : comment retrouver une âme d'enfant même dans le meurtre ? [Terminé !] Mar 2 Mai - 6:22 | |
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| Katsujiro Ito | 35 ans ♦ Masculin ♦ Japonaise ♦ Hétérosexuel ♦ Le fou ♦ Tueur à gage | A Iteku : Katsujiro est un jeune homme commençant à prendre de l'âge, généralement distant, froid et réservé. Silencieux, il évite de perdre son temps, ou même de se compromettre stupidement. Physiquement, il ne dénote pas vraiment. Il mesure une taille moyenne et n'est pas particulièrement imposant. Cependant, il porte toujours un costard, et un œil averti peu identifier une certaine tension dans ses muscles : symbole d'une personne entraînée et alerte. En Noerphilie : Une fois en Noerphilie, il garde la même apparence (à ceci prêt qu'il n'y va jamais armé de son couteau et son 9 millimètre), pour peu qu'il ne soit pas fusionné à sa persona. Sinon il prend l’apparence d'un jeune garçon. Sous cette forme, il semble généralement plus souriant, voir même jovial. Il ne semble plus alerte ou tendu, voir même presque désarticulé au contraire. D'ailleurs, sa démarche peut même sembler inquiétante tellement elle est désarticulée :il ressemble à un mannequin de vitrine malmené par le vent, à moins que ce ne soit lui qui malmène les courants d'air. Sous cette forme, il ne se refuse plus rien par crainte de compromettre ses plans : il tente tout, et voit ou cela le mène sans se soucier du danger, juste pour prendre du bon temps et s'amuser ! Ainsi renommé Mad Dummy, un nouvel avenir s'offre à lui ! |
| QUALITES ♦ Consciencieux ♦ ♦ Réfléchit ♦ ♦ Méticuleux ♦ ♦ Pragmatique ♦ ♦ Raisonnable ♦ DEFAUTS ♦ Froid ♦ ♦ Quelconque ♦ ♦ Distant ♦ ♦ Monomaniaque ♦ ♦ Têtu ♦
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| Persona Nom : Bloody Dummy DescriptionBloody Dummy ressemble à une sorte de vieux et petit mannequin recouvert de toile trouée et usée. Sans bras et avec un simple socle en guise de jambe, il est cependant armé d'un couteau (pas bien dangereux sou cette forme). Le socle comme le couteau ne sont pas directement reliés à lui, lévitant plus à coté un peu comme les membres de Rayman. Le creux de son ventre comporte une bouche aux dents pointues, et sa tête semble un peu allongée vers le nez et la seconde bouche (à sa place normale, elle). Ses yeux sont cousus d'un bouton de chemise rouge qui brille un peu plus que la normale. Pour se déplacer, il rebondit principalement sur son socle, et use de son couteau, comme de ses dents à la place de mains. Pouvoir du personaBloody Dummy est l'incarnation même de l'âme d'enfant de Katsujiro, mais aussi son esprit malsain, calculateur, froid et méthodique. A première vu contradictoires, les deux facettes de cette personnalité sont les deux face de la même pièce que représente Bloody Dummy. Ainsi, il est armé d'un couteau, mais pas n'importe lequel : celui avec lequel Katsujiro a remplit son premier contrat. Véritable symbole du passage à la vie adulte pour le tueur, cette arme se met cependant au service de son âme profonde une fois entre les mains de Bloody Dummy. C'est donc un couteau ordinaire, ou si ce n'est qu'il est habité par l'envie même d'accomplir ses propres désirs et de céder à ses propres pulsions. A noter cependant qu'il peut faire très mal sur les cibles que Bloody Dummy considère comme vraiment opposées aux envie de Katsujiro dès lors qu'ils sont fusionnés, cela provoquant plus rapidement des hémorragies ou percer des amures sans mal. Bien souvent, les dégâts infligeable seront proportionnels à la solidité de l'adversaire, armures ou protections comprises. Seulement, si Bloody Dummy n'est pas fusionné a Katsujiro, le couteau ne fera pas bien mal, pas plus qu'un couteau à peine plus coupant qu'un couteau à beurre entre les mains d'un enfant hyperactif. A noter aussi que ce couteau est particulièrement solide, et ce qu'il soit fusionné ou pas. Mais pas seulement : si Katsujiro accepte l'intégralité de sa personne, y comprit ses envies refoulées et ses volontés brimées, Bloody Dummy peut fusionner avec lui. Dès lors, leur deux prendront l'apparence d'un jeune garçon, pas celle de Katsujiro lorsqu'il était enfant cependant. Pour que la fusion tienne, Katsujiro ne peut pas un seul instant se détourner de ses envies, ses pulsions et sa volonté. Envie d'un gâteau ? De jouer ? De tuer ? De faire souffrir un débile qui lui barrerait la route ? Il ne doit rien se refuser. Et... toujours avec le couteau : comment pourrait-il utiliser autre chose ?! En contre partie, la fusion avec sa propre persona lui octroi une puissance physique surhumaine. Agilité, force, vitesse, tout se retrouve augmenté dans des proportions trans-humaines. Cela lui donne également une allure de mannequin ou de pantin désarticulé, ce qui peut être inquiétant. Sous cette forme, il se fait appeler Mad Dummy. A noter que fusionné ou non Katsujiro n'en reste pas moins quelqu'un d’entraîné au combat et d’entraîné aux tactiques de combats en duel notamment. Ainsi, même si fusionné il parait un peu plus direct et moins défensif que lorsqu'il n'est pas fusionné, Katsujiro n'en perd pas ses techniques de combat, les adaptant juste à ses priorités lors d'une bagarre : bien souvent rester en vie lorsqu'il n'est pas fusionné, et trop souvent tuer lorsqu'il l'est. A noter aussi qu'en forme non fusionné, Bloody Dummy possède des crocs au niveau de ses deux bouches (sur sa tête et sur son ventre) qui peuvent blesser légèrement en cas de morsure (au final bien plus que le couteau en forme non fusionnée). |
Katsujiro, bâtiment 3, 3ème étage, chambre C33. Voilà. C'était ça sa maison ? Visiblement. A peine pouvait-il marcher comme il faut qu'on l'y avait balancé. L'orphelinat. Ce n'est pas si mal, pour quelqu'un qui ne connait rien d'autre. Après trois ans de garde par une nourrice pour les premiers jours de sa vie, l'y voilà. Cette chambre n'était pas si mal : 9 lits empilés trois par trois sur 15 mètres carrés. Une seul et unique fenêtre à barreaux dans un coin. Une vieille moquette au sol. Un coin salle de bain qui se résumait à un lavabo et un miroir mural cassé. Bienvenu en orphelinat. bienvenu dans l'orphelinat de la ville la plus mal famée du Japon. Seul, Katsujiro s'avança avec hésitation dans la pièce tandis qu'on refermait la porte derrière lui. Un pas, deux pas, et il posa un petit sac sur le lit en face de la fenêtre. "Oh tu te prends pour qui le mioche ? C'est mon lit lui !" Ça venait du lit d'en dessus : un grand. Intimidé, le petit reprit son sac tandis que des rires et des chuchotages reprirent sur le lit du haut. Son chemin le mena vers le lit à coté du lavabo. C'était bien pour boire la nuit ça aussi. Ainsi, il s'assit ici. "Désolé, mais t'a encore mal visé. Ce lit c'est le mien. Ça venait d'à coté. D'accord... Reprenant son chemin, il se posa sur un lit : n'importe lequel. "Le mien ! Celui qui reste c'est celui là, au fond." Katsujiro n'avait même pas vu d'où venait cette voix. Mais il voyait bien le lit dont il parlait. Celui de tout en bas, loin de la fenêtre et le lavabo. Dans un coin sombre. D'accord... Ainsi il s'y posa, rangea ses affaires à coté sur le petite table de nuit partagée. "Et petit. Dit ça comme place ça te va hein ? C'est que bon, tu vois c'est trucs c'est important pour moi et j'ai pas envie de les foutre par terre." La table de chevet était totalement remplie... Ainsi, Katsujiro posa ses affaires au pied de son lit avant de ses rouler dans ses draps drus et revêches de sa couche plongée dans l'ombre. Ça grattait, et ça tenait même pas chaud. Mais il était fatigué : il s'endormit assez vite. Et tant mieux : le petit garçon avait peur du noir.
Le petit Katsujiro passa 13 ans là bas. L'orphelinat était... sale... mal équipé... sans budget... Là bas, les enfants étaient plus livrés à la loi du plus fort qu'à une enfance douce, et ce plus fort ce n'était pas Katsujiro... Les grands prenaient tout et les petits souffraient en silence. Les rares employés, en sous effectifs et devenus des fantômes passant en coup de vents pour les enfants, n'avaient même pas le temps de s'en rendre compte d'ailleurs. Seulement Katsujiro resta petit bien longtemps, bien trop longtemps. Enfin, le destin le menait toujours à plus grand que lui. Même à sa dernière année dans l'orphelinat, trois "copains" de 3 moins son aîné arrivaient à le rabaisser. Les enfants sont durs entre eux, et pour Katsujiro la dureté ne passait qu'à sens unique : vers lui. Le petit garçon devenu adolescent était détruit, à ceci prêt que la vie ne lui avait même pas laissé le temps d'être construit avant. Il ne mangeait pas à sa faim, se faisant piquer pas mal de sa nourriture. Il pleurait en silence chaque nuit où il ne tombait pas de sommeil : son lit était plongé dans le noir. Et il avait peur du noir. Il subissait, subissait, subissait. Jusqu'à au jour où il eut 16 ans : age où il allait quitter cet orphelinat de malheur qui n’accueillait les enfants que de 3 à 16 ans.
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Mais il avait bien envie de fêter ça avant de partir... Cette fois, c'était lui le grand. Il était alors temps pour les petits de subir à leur tour. Rentré du réfectoire avant les autres de sa chambré, Katsujiro avait été privé de repas parce qu'il avait provoqué une bagarre. Trop facile. C'était toujours ça que d'autres n’engloutirons pas, et le garçon avait même eut le temps de récupérer son couteau à viande dans la manche... Et si le jeune garçon avait reçu quelques coups assez sévères, il avait put quitter l'infirmerie assez tôt pour préparer tout son petit jeu. Chaussons cachés, petit cadeau dans les draps trempés des copains : dissimulé derrière la porte d'entré, Katsujiro attentait patiemment pour apporter de la couleur à son passage dans cet orphelinat. Finalement, ses huit camarades rentrèrent dans des jacasseries adolescentes moyennes. L'un ferma la porte, et Katsujiro se glissa dans son dos pour récupérer la clé, fermer à double tour la porte et passer la dite clé dans sa poche. Voilà : le jeu pouvait commencer. Si le jeune Katsujiro avait bien trop souvent subit des brimades, des violences et des humiliations, il voulait passer à un cran au dessus. Il en avait entendu parler un jour : tuer. Tuer. Tuer. C'était bien plus net, plus clair, plus limpide. Katsujiro ne voulait ni les faire souffrir, ni les violenter, il voulait les tuer. Il voulait en finir avec ces idiots. Aussi, tandis que les premiers rentrés découvrirent le petit cadeau laissé dans leurs draps, le meurtrier se glissa derrière le dernier pour plaquer une main contre sa bouche et l'égorger. Clair, net. La victime, terrifiée, chercha une seconde à se défendre avant de tomber à terre, vaincue. Un gargouillis, deux, et il s'endormit paisiblement. Katsujiro regretta presque de ne pas pouvoir admirer ça. A peine avait-il lâché sa première victime qu'il se précipitait sur le plus proche encore en vie. "Sale merde ! T'es où petit con ! hurla-t-il en se retournant. -Ici." Katsujiro était devant lui. Calme et froid. Sur sa réponse, il planta un couteau nappé de sang dans le thorax de son interlocuteur. Le cœur. il l'avait sentit céder sous le bout de la lame. Il avait bien visé. Surpris, la seconde victime dévisagea ce visage un peu jeunot pour son âge, souriant et aux portes du bonheur, avant de s'effondrer. Mort. Trop, c'était trop. Les six restant comprirent vite ce qu'il était en train de se passer. D'abord excédés par la farce stupide de Katsujiro, les six virent les 2 cadavres au sol et passèrent de la colère à la fébrilité. Sérieux, les six amis localisèrent Katsujiro et commencèrent à l'encercler. La porte était fermé. C'était vite vu : ils devaient le neutraliser. Katujiro, lui, ne s'était jamais autant amusé. C'était si simple en fait, de tuer. Rien d'aussi difficile, tortueux et inimaginable qu'il en avait entendu. Un coup, et c'était fait. Le cou, le cœur, la tête, les poumons aussi ça marchait bien. Il fallait juste bien viser. C'était comme les fléchettes, avec des cibles mobiles qui pouvaient t'immobiliser. Ce n'en était que plus compliqué, mais aussi tellement plus intéressant. Que la partie commence !
Les six étaient là, fébriles. Ils fixaient la lame ensanglanté d'un œil aussi exorbité qu'une poule en face d'un couteau. Amusant ! Ils étaient tellement rivés dessus qu'ils ne regardaient même pas Katsujiro en définitive. Un seconde, deux, le jeune garçon s'en amusa un instant. Puis il recula lentement, et d'un air innocent, juste pour se rapprocher d'un des six. Ce dernier, apeuré, recula jusqu'à se retrouver dos au mur. Et au moment même ou il allait attraper Katsujiro pour le serrer fort et le bloquer, ce dernier lui asséna un bon coup de talon entre les jambes avant de prendre son couteau à revers et le lui planter dans l’œil. Le cerveau. Il l'avait touché. C'était spongieux. Et le couteau se plantait dedans comme dans du beurre. Touché ! Tombé ! La victime horrifié, chuta sans résistance. Elle était morte. Plus que cinq. Et certains se mettaient à crier. D'autres lâchèrent le cercle pour aller tambouriner à la porte. Eux qui pensaient pouvoir faire le poids à six, encore auraient il fallut qu'ils aient l'idée de charger en même temps ! Mais ils étaient trop stupides. Pour faire les petites frappes il y en avait du monde, mais dès qu'on allait plus loin, plus personne ! Parfait. Profitant de la surprise et de la déceptions des restés, Katsujiro en égorgea un qui avait même oser le lâcher du regard. Dommage, il était définitivement trop stupide pour ce monde ! Plus que quatre : 2 à la porte et deux encore autour de lui qui reculaient, terrifiés. Un touché aux poumons : ils haletaient comme un buffle, à terre. Un autre percé en plein cœur : c'était plus net il fallait l'admettre. Katsujiro prit même la peine d'achever celui avec un poumon déchiré. Il était bon prince. Plus que deux ! Katsujiro était presque triste de voir ce jeu prendre fin. Un égorgé : il tomba à l'instant même où la porte s'ouvrit sur des employés de l'orphelinat. Il en restait un, dommage. Aussi Katsujiro se contenta de jeter son arme sur celui ci. Et la lame se planta dans son flanc. Mais il tenait encore debout. Il avait raté son coup ?! "Katsujiro ! Mais qu'est ce qu'il t'a prit bon sens ! -J'aimerais partir avant demain madame en fait. -Tu ne partira nul part ! Tu vient avec moi sale monstre ! Espèce de criminel sans aucun respect ! Je vais te l'apprendre moi la vie." Silencieux, Katsujiro attendait sans vraiment écouter les remontrances qui lui étaient réservées. Il savait que ça serait mal vu, de tuer. Mais tant pis. Le faire c'était accepter la délicieuse extase ressentie sur l'instant autant que les violentes injectives contre cette pratique.
Finalement. Le survivant fut évacuer vers l'infirmerie, et Katsujiro fut emmené cher le directeur sous bonne garde. Puis la police fut appelée. Rapidement jugé pour son jeu nommé "crime", Katsujiro fut condamné pour multiples assassinats, et incarcéré pour 4 ans fermes dans une prison pour mineurs.
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Rapidement, Katsujiro se rendit compte d'une chose. Passer ses journées à flâner sans but ni raison, comme une ombre, dans des cour grillagées avec quelques merdes par ci par là qui sont sensées les occuper, c'est long. Ils étaient parqués dans des endroits bien trop petits pour le nombre qu'ils étaient d'ailleurs. Alors oui, quelques bagarres explosaient parfois. Mais sans arme, et sans aucun moyen de se soustraire à leur surveillance, ça servait pas à grand chose. Provoquer une baston était même préjudiciable : la salle d'isolement était encore plus strict que le reste du complexe. Katsujiro s'ennuyait, et il n'avait aucun moyen pour casser cette monotonie. Cela dura une année entière, une longue et pénible année ou le garçon se remémora le plaisir qu'il avait ressentit pendant le massacre. A cet instant, cela avait été lui le roi. Et là, il ne l'était plus. Plus rien n'avait de sens. Tout était redevenu comme avant ce si beau jour. Ou pire même. Avant au moins il avait un malheur sur lequel pleurer. Mais là rien. Personne ne faisait attention à lui, et en un sens il se confortait bien dans cette situation. Après tout, être vu c'est être en danger. Et au vu de toutes les petits corps de faible -parce que oui : en prison il était définitivement gringalet- qui finissaient brisés ici, il fallait mieux pour lui qu'il demeure une ombre. Et il était doué pour ça. Ce n'était pas un véritable espion non plus, mais tout se jouait sur la posture. Un peu en retrait, légèrement décalé vers un coin sombre, tête basse, pas légers. Tout était une affaire de détaille. Et si Katsujiro prenait ça comme une expérience intéressante, principalement pour l’occasion que cela lui donnait d’affûter sa discrétion, ce dernier ne rêvait que de la mettre en oeuvre pour reprendre son jeu.
Cela faisait presque 2 ans qu'il moisissait dans ce trou, et de jour en jour le garçon sentait tout le piquant de sa vie s'en aller au loin. Joie comme tristesse, peur comme euphorie : il devenait aussi expressif que l'ombre qu'il mimait. Mais il était en vie, affirmation qu'il commençait même à remettre en cause. Seulement, un soubresaut de surprise le traversa comme un dernier battement cardiaque. Comment ça un geôlier avait laissé un couteau sur son plateau repas ? Comment ça c'était un couteau à viande ? Rigoureusement identique à celui qui lui avait offert cette si belle soirée deux ans auparavant ? Perplexe, Katsujiro crut d'abord rêver. Mais non, il était bien là. Vite ! D'un coup, une lancé d’adrénaline tendit son bras. Et d'un coup il avait passé le couteau dans sa manche. Ah ! C'était donc ça qui lui manquait tant. Comme une poussée, une violente montée qui le faisait se sentir... vivant. Ce jour là, Katsujiro tua de sang froid deux gardes et trois prisonniers avant de n'être rattrapé et stoppé à l'entré de la prison. L'arme du crime, en réalité enterrée un peu avant, ne sera jamais retrouvée par les autorités.
Résultat : passage en sécurité supérieure... Merde ! Il y était presque en plus. Si le garçon avait beaucoup apprécié son escapade, il avait bien moins aimé la fin. Mais il l'avait fait, et c'était comme une véritable seconde naissance. D'un côté, il ne regrettait rien : il avait kiffé ! Mais de l'autre, il se demandait si on ne l'avait pas poussé à la faute pour le punir d'avantage. Il ne savait pas s'il devait prendre l'info comme véridique, mais il aurait gagné un an de plus ici à cause de cette balade. Bordel... Plus de sortie pendant un bon moment... la plaie... enfin pas tant que ça : sortir ou pas ne changeait rien. Katsujiro s'ennuyait et ce n'était pas prêt de s'arrêter. Les jours défilaient et lui même en perdait le compte. Mais une visite surprenante vint briser la monotonie de son existence : une psychologue souhaitait étudier son cas. Une nouvelle outrée par ses pratiques : Katsujiro en était ennuyé d'avance... Mais pas le choix : il devait y aller. Aussi se retrouva-t-il enfermé dans un pièce ne présentant que deux chaises et une table. Lui même fut assis sur une chaise et ses chaines furent attachées à la table. En face était assise une femme, semblant plutôt jeune, aux cheveux longs et tellement roux qu'ils en semblaient rouges. Son regard traversa les verres d'une paire de lunette rouge pour se poser sur le garçon, presque adulte à présent. "Le voici mademoiselle. Si vous avez n'importe quel problème ou si vous souhaitez mettre fin à l'entrevue, il vous suffit d'appeler à la porte. Dans tous les cas le rendez-vous est enregistré et un garde visionne en temps réel l'enregistrement, simple mesure de sécurité. -Je vous remercie mon brave. La dessus, le garde s'en alla, refermant à clé la porte derrière lui. A la seconde ou la porte claqua, la psychologue changea d'ailleurs de mine... "Parfait ! Cela faisait un bon moment que j'attendait de te voir gamin, tu sais ?" Hein ? C'était quoi son délire là ? "Quoi ? Votre tripe c'est les meurtriers ? Vous flashez sur les "tarés" ? -En un sens, tu peux le voir comme ça !" Sur ces mots, elle se leva, et contourna le garçon pour passer dans son dos. C'était... inquiétant. Katsujiro détestait avoir cette femme hors de son champs de vision. Il ne savait pas pourquoi... quelque chose n'allait pas dans tout ça. "Vois-tu, j'ai longuement étudié ton cas. Disons qu'il présente de nombreux élément... Nerveux, Katsujiro essayait de la localiser. Mais impossible : elle bougeait trop jusqu'à cet instant. Le garçon vit alors son visage s'approcher du sien, et sentit quelque chose se poser sur sa gorge. "... qui me fascinent tellement... Là ! Elle tenait quelque chose en main... Un couteau...LE couteau ! Interloqué, Katsujiro n'osait plus bouger. Comment est-ce qu'elle l'avait récupéré ? Pourquoi elle faisait ça ? Elle allait vraiment le tuer ?! Ils avaient beau être filmés et surveillés, elle pouvait agir à présent avant même que le moindre garde n'ait le temps d'intervenir. En un sens, cela l'inquiétait de mourir à son tour. Et en un autre, cela l'intriguait : était-ce aussi plaisant à recevoir qu'à donner ? "Et... messieurs les gardes... si vous voulez vous pointer c'est maintenant...
Là dessus, l'étrange femme éclata de rire. Toujours en gardant un couteau sous la gorge du garçon, elle fit même un signe de la main vers la caméra. Elle semblait saluer quelqu'un... "Ce cher monsieur ne te sera qu'aucune aide Katsujiro. Disons simplement qu'il a aucun intérêt à agir. Cela serait si dommage pour sa pauvre petite fille.. . Mais... elle était complètement tarée ! Décontenancé, le garçon en savait plus que faire. Il était piégé. "Vous me voulez quoi à la fin ? Me tuer ? Pourquoi ? -Oh non, non, rien de tout ça. J'ai simplement était interpellée par ton profil si particulier. Un petit martyr de l'orphelinat... qui aurait put deviner qu'il fasse autant de victimes! Et d'un coup en plus. Non, il n'y a pas à redire : c'était du beau boulot. -Mais quoi ? Vous voulez en venir où à la fin ? -Je veux en venir, c'est que je t'aime bien." Sur ses mots, elle s'éloigna, pointant de loin le garçon avec le couteau. Aucun doute : c'était bien celui de l'orphelinat, celui qu'il avait retrouvé sur sa plateau repas. Il restait même quelques traces de terre... "Tu présentes toutes sortes de qualités remarquables aussi captivantes qu'inquiétantes ! Mais dit moi plutôt, est ce que tu aime que ce tu a faits ? -Oui" Une évidence. Si le garçon devait mourir ici, il mourrait vivant. Il assumerait, alors autant ne rien cacher. "Bien ! Et du coup, comment tu t'y prend ? -Et bien je sais pas... Je dois tuer, et je tue c'est tout. Un but, un objectif : rien entre les deux. Ni préjugé ni crainte. Ni qu'en dira-t-on ni doute. Je tue. -Parfait ! Sur ces mots, l'étrange femme glissa le couteau dans sa manche, puis rappela un garde sans laisser le temps au prisonnier de réagir. Elle partit et laissa Katsujiro revenir dans sa cellule. Mais quoi à la fin ? C'était qui !
Intrigué, le prisonnier se questionna toute la journée sans trouver d'explication valable. Et le soir venu, une intrusion dans sa cellule l'interrompit. L'étrange femme était de retour, bien déterminée à le faire évader. Elle avait tout prévu : s'en était presque trop simple. De garde soudoyé en garde soumis au chantage, ils n'eurent presque même pas à se cacher. Suivant, Katsujiro hésitait. Mais pourquoi elle faisait ça à la fin ! Finalement, les deux sortirent sans encombre, et commença ainsi le début de la vie de jugitif de Katsujiro.
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Rapidement, il apprit tout. Cette femme, qui était en fait un homme, se faisait nommer d'une bien étranger façon : Shinigami. C'était pour ainsi dire une légende du meurtre, le tueur à gage le plus reconnu de sa génération. Il avait entendu parler de Katsujiro et de son petit orphelinat pourrit. Et il voulait de lui comme apprenti. Katsujiro, n'ayant pas vraiment d'autre choix, mais dans tous les cas adorant cette idée, accepta de devenir son élève. Plus jamais il ne raterait un coup, c'était décidé.
Ainsi le jeune Katsujiro venait d'avoir 18 ans, et le voilà marchant dans les pas d'un homme aussi étrange que délirant. Mais cet homme était doué, très doué. En sa compagnie, Katsujiro apprit à étudier une cible, à la pister, à la laisser lentement tomber dans un piège parfait d'où elle ne sortira jamais. Parfait pour ne jamais se planter. C'était ce que voulait savoir faire le jeune homme. Ne plus jamais échouer. Mais c'était long ! Et si au début il craignait de n'avoir à attendre longtemps pour savourer ce si splendide moment, l'apprenti finit même par se délecter de ces longs mois de préparations. Cela pouvait même durer des années ! Mais voir comment une pauvre petite mouche tombait dans ses filets était si captivants que Katsujiro adorait ça. Il apprit à se battre aussi, mais cela ce n'était qu'un outil. Il avait le métier dans le sang, et ce Shinigami partageait sa vie avec tellement de proximité que le jeune homme finit même par le considérer comme un père. Katsujiro, ayant prit le nom de Ito, vivait dans un bain de sang aussi agréable que délectable. Il vivait de passion, et ça payait bien ! Il marchait dans les pas de son père et dansait dans les traces de ses meurtres pour commettre les siens. Un jour, il tomba même amoureux.
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Il avait 28 ans, et elle en avait 24. Dix ans avaient passées et Katsujiro était devenu un véritable caméléon. Le reflet de ce qu'il devait être pour son crime. Et en dépit de cet adaptabilité à tout épreuve, une envie battait toujours dans son cœur : tuer. Ou presque. A présent cet amour inconditionnel du meurtre partageait sa place avec celui que l'homme éprouvait pour Kamélia. Une américaine. Les deux criminels étaient partis aux Etats-Unis pour quelques mois sabbatiques. Shinigami disait toujours que c'était important, de se garder quelques mois de repos. Et comme les deux n'étaient pas restés dans un pays anglophone depuis un moment, cela entretenait leur anglais ! Parler des langues, beaucoup de langue, c'était important pour un assassin. Aussi il fallait bien mettre son temps, et même ses vacances, à profit. Et le profit fut immense : Katsujiro ne jurait que pas Kamélia. Et c'était réciproque ! Ainsi, le criminel passa ses vacances à flâner avec son amourette, lui mentant sur sa véritable activité juste pour son bien... Shinigami, amusé par la situation, admira cela pendant tous ces mois. Il fallait dire qu'ils les avaient poussés chacun dans les bras de l'autre. Il fallait bien que son fils se pose un jour, fonde une famille !
Mais les vacances allaient se terminer, et Katsujiro avait déjà annoncé à Shinigami qu'il ne repartirait pas. Il avait décidé de vivre ici, avec Kamélia. Ce soir là, Shinigami les avaient donc invité dans sa suite pour fêter son départ "pour affaire". Sa suite était grande, spacieuse et élégante. Prise dans un hôtel de luxe au cœur de New York, elle coûtait certainement le mois de salaire à un fonctionnaire moyen. Mais le meurtre, ça paye bien. Tout du long, Shinigami joua le parfait associé d'affaire respectueux, amical mais courtois. Il jouait le jeu de Katsujiro, son mensonge à cette femme qu'il prétendait pourtant aimer. Et il continuait, encore et encore. Il comptait vraiment rester ? Pathétique... Shinigami en était dépité. Le repas passa et l'assassin fit mine de se réjouir de leur bonheur. Mais il était amers. Comment pouvait il prétendre l'aimer en lui mentant autant ? Il ne comprenait pas. Finalement, le repas se termina. La jeune femme était un peu fatiguée, aussi elle voulait rentrer tôt. Katsujiro et Kamélia s'apprêtait donc à partir, quand cette dernière s'effondra au sol, soudainement prise d'un mal aise. L'homme, paniqué, je jeta sur elle pour l'aider. Blême et en sueur, elle semblait étouffer. Ses yeux étaient révulsés et elle crachait du sang... "Kamélia Heartvilia, héritière de la famille Heartvilia, principaux concourants des Logan dans le secteur de l’aéronautique. Ils ont payés cher pour son meurtre. Et comme je suis bon prince je te donnerait même une part si tu veux. Shinigami... pourquoi ? Il l'avait empoisonné. Empressé, Katsujiro sortit d'un coup son portable : pas de réseau... Mais pourquoi bon sens ! Ils étaient au beau milieu de la ville ! "Katsujiro vraiment ? J'y ai pensé : ne cherche même pas à la sauver. Relevant la tête, l'apprenti vit son maître tenir d'une main de brouilleur d'onde de zone, et de l'autre des clés. Il avait même celles du balcon... Alors voilà... "L'élève ne dépasse pas encore le maître mon garçon. Cette fille n'était pas pour toi de toute façon. Soit raisonnable : finissons le travail et partons. Raisonnable ? RAISONNABLE ? Katsujiro exultait de rage. Se relevant, il se jeta d'un coup sur Shinigami, et un combat endiablé commença. C'était bien le maître qui avait à l'apprenti à se battre, aussi le premier explosa de rire en voyant cette tentative désespérée. Mais le combat fit rage, et ce dans l'intégralité de la suite. Kamélia mourut, mais Katsujiro continua de se battre. Il était coup sur coup repoussé par Shinigami, jusqu'à la charge étrange ou il prit le dessus. Désespoir, colère, fureur, dégoût, tout s'en était mêlé. Et l'apprenti se retrouvait à présent sur son maître, couteau à la main. Shinigami était bloqué, et Katsujiro le tenait. Mais une seconde. Quelque chose. Il refusait de faire ça. Ainsi, il planta le couteau à coté de la tête de Shinigami, laissant se dernier hagard et tremblant. Il s'éloigna le temps de poser un baisé sur les lèvres de sa bien aimé, et il partit.
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Il retourna dans sa suite et partit sur le champ, seul. En un sens, il espérait que le baisé donné à la morte ne le tue avec le poison, mais ce ne fut pas le cas. Ainsi il partit seul, et ne revit jamais Shinigami depuis. Après tout, c'était simple, lui qui connaissait les méthodes de son maître. Il pouvait les contrer pour rester définitivement une ombre. Les années qui suivirent, Katsujiro continua d'exercer, mais un brin différemment. Il avait apprit auprès de meilleur, mais il en avait aussi vu les failles. Aussi il développa de nouvelles techniques. Plus discret, plus net, avec moins de témoins gênant qui pourraient parler, et plus de technique pur de combat à l'appui. Il continua à tuer. Et dans un sens, il devint meilleur que Shinigami ne l'eut été en sa présence. Mais quelque chose s'était brisé en lui : il n'aimait plus son métier.
Ainsi, les années passèrent et Katsujiro perdit tout ce qu'il avait gagné lors de son apprentissage : le gout de la vie. Il vivait par habitude, tuait par routine. Il était redevenu l'ombre de la prison. Mais là, même le sang ne parvenait plus à lui redonner des couleurs.
Finalement, ce fut un contrat qui le mena à Iteku en avril 2015. Son avion atterrit même en ville le 17 dans la nuit. A peine prit-il le temps de dormir quelques heures avant de partir en repérage tôt le matin. Mais ses plans furent un brin contrariés par une étrange annonce. Foutaises. Il n'avait pas le temps pour ces idioties. Au début, il n'y crut pas oui, juste parce que cela semblait beaucoup trop fantasque. Ainsi, il continua de travailler, et fut rapidement excédé de voir que tout ne tournait plus qu'autour de cette Neorphilie. Qu'ils pouvaient être crédules les gens quand même... Lentement Katsujiro n'entendait parler plus que de cela. Un témoignage : de la drogue. Quelques disparitions : des assassins quoi d'autre ? Beaucoup de témoignage : encore la drogue surement... Katsujiro trouvait cela de plus en plus bizarre... Aussi il enquêta dessus pour finalement trouver un lien avec sa cible : elle semblait être en Neorphilie d'après certains...
Non... vraiment ?
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Katsujiro en avait assez, vraiment assez. Sa cible était introuvable. Aussi, en désespoir de cause, il finit par tenter la seule piste qu'il avait... Lui même n'y croyait pas de tester. Mais il le fit. Il entra une main dans un écran pour voir avec grande surprise qu'il traversait. Wow... sans même avoir le temps de retirer son bras, il fut comme transporté au milieu d'une plaine... Mais... quoi ?! D'abord terrifié, le meurtrier se pinça, se mit des baffes pour chercher à se réveiller. C'était... impossible c'est tout ! Mais rien à faire : il était là et ce... ce mannequin de toile le poussait déjà pour qu'il avance ?! Mais c'était quoi ce truc au juste ?! Interloqué, Katsujiro cherchait à le chasser -ce truc était quand même armé- mais rien à faire. Il le collait beaucoup trop. Déjà bien embêté et en train de se défaire de cette... chose... Katsujiro n'en vit que très tard la meute de loup-ours bizarres s'approcher de lui... Merde... c'était quoi ce délire ? Pris d'un coup par une adrénaline étrange, l'assassin armé de son couteau -toujours le même depuis l'orphelinat- se jeta sur le premier, et le second, et ainsi de suite ! C'était si facile : un coup, c'était finit. Le jeune Katsujiro exultait de nouveau. C'était ça qu'il avait perdu ! Ça ! L'envie, la foie. Se jeter sans réfléchir, tuer sans haïr. Une fois la boucherie finie, il se décida à achever le dernier loup agonisant. Il était bon prince. Mais avant, un mot. "On ne touche pas, jamais, à Mad Dummy. Comprit ?"
Il était bien, heureux, revigoré comme jamais. Et si ce fin fil qui le reliait au bonheur était fragile, il le sentait, il aimerait que ce denier tienne toujours. Il voulait s'amuser, jouer ! L'avenir était à lui tout comme des milliers et des milliers de vie.
Vous Nom/Surnom : Anae12 Âge : 20 Sexe : ♀/♂ <3 Un ptit mot ? Nanae ? "O" Comment avez-vous connu le forum ? Google Code du règlement : REMPLISSEZ ICI Des suggestions, des compliments ? REMPLISSEZ ICI Avez-vous recensé vos avatars ? Pas encore >< et j'en ai beaucoup en plus xD
Dernière édition par Katsujiro Ito le Mar 16 Mai - 5:26, édité 10 fois |
| | | | Sujet: Re: Katsujiro Ito : comment retrouver une âme d'enfant même dans le meurtre ? [Terminé !] Ven 5 Mai - 12:00 | |
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| Salut ! =D Bienvenu parmi nous ! Bon courage pour ta fiche n'hésites pas si tu as des soucis ! ^^ |
| | | | Sujet: Re: Katsujiro Ito : comment retrouver une âme d'enfant même dans le meurtre ? [Terminé !] Dim 14 Mai - 17:41 | |
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| | | Invité | Sujet: Re: Katsujiro Ito : comment retrouver une âme d'enfant même dans le meurtre ? [Terminé !] Lun 15 Mai - 19:18 | |
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| Merci Yoru ! Aucun souci, mais je viendrais si j'en rencontre un ^^ . Pour le moment j'avance tranquillement ma fiche, mais je devrais m'y mettre prochainement sérieusement pour la finir d'un coup x) (elle n'a que trop traînée). D'ailleurs, question délais pour la finir, vous avez des demandes particulières ? Merci Ambre ! |
| | | | Sujet: Re: Katsujiro Ito : comment retrouver une âme d'enfant même dans le meurtre ? [Terminé !] Lun 15 Mai - 19:53 | |
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| D'accord pas de soucis ^^ Alors officiellement tu as environ 15jours trois semaine pour faire ta fiche ^^ Tu as donc encore le temps ^^ |
| | | Invité | Sujet: Re: Katsujiro Ito : comment retrouver une âme d'enfant même dans le meurtre ? [Terminé !] Mar 16 Mai - 5:27 | |
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| Simple petit message pour dire que ma fiche est terminée ! J'ai trouvé l’inspiration que me manquait pour compléter l'histoire ! |
| | | | Sujet: Re: Katsujiro Ito : comment retrouver une âme d'enfant même dans le meurtre ? [Terminé !] Jeu 18 Mai - 23:02 | |
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| Salut ! =) De coup je m'en vais corriger ta fiche ! Alors commençons par ton apparence en Noerphilie, il a quelle apparence du coup ? Celle de Iteku ou alors celle de Nagisa ? Tu ne peux avoir qu'une apparence et donc tu vas devoir choisir ^^ Sinon pour le reste ça me va. Pour ton persona, je pense avoir compris son principe mais je pense que tu vas trop loin dans ton explication et donc on s'y perd assez facilement. Essaye de simplifier tes explications ^^ Bon au risque de passer pour quelqu'un de chiant ; mais je pense que tout le monde pourra te le dire, je suis pénible sur ce genre de détail, mais après avoir tué autant de personnes, que 4 ans en prison, même en étant que mineur c'est extrément peu ! Alors, soit tu décides de diminuer le nombre de mort et que le fait d'avoir tué un de ses "camarades" cela suffisait pour les apeurer et s'excuser, soit tu augmentes le nombre d'années qu'il doit passer à l'ombre. Alors en effet, vu la suite de l'histoire ça parrait logique qu'il en est tué beaucoup, mais du coup rajoute des années ^^ Pour l'histoire de sa vie de fugitif, en vrai tu pourrais le faire s'évader légalement ! En gros, il serait employé par l'état pour s'occuper du sale boulot, il obtiendrait la liberté d'un côté mais pourra donc également assouvir ses plusions meurtrières. ^^ En plus tu n'a pas besoin de changer la suite de l'histoire vu que même l'histoire de Shinigami ! Pense à mettre le code du règlement sinon je ne pourrais pas te valider ta fiche ^^ Enfin voilà ! Ça fait peut-être beaucoup vu comme ça, mais je t'assure que ça reste assez peu ! Pense à te relire, tu as quelques fautes par-ci par-là, qui ne viennent que d'erreur d’inattention ^^ |
| | | | Sujet: Re: Katsujiro Ito : comment retrouver une âme d'enfant même dans le meurtre ? [Terminé !]
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| | | | Katsujiro Ito : comment retrouver une âme d'enfant même dans le meurtre ? [Terminé !] | |
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