| Sujet: La nostalgie d'un violon - Fuijin. Jeu 17 Mar - 5:09 | |
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| Fuijin Kimura / Doréneko | 27 ans ♦ Masculin ♦ Japonais ♦ ---- ♦ Le pendu? Serveur Chagall | A Iteku : La folie s'installe après une souffrance intolérable, présente à chaque mouvement. Comme une goutte qui tombe fréquemment sur ton front, au même endroit. Une fois de plus. Et encore, et encore. Le remède? Ta maladie n'est pas assez populaire pour qu'on t'offre autre chose que des anti-douleurs. La surdose de médicament détruit ta concentration, ta volonté. Chaque fois; la dose augmente.
De plus, puisque que ce n'est qu'une illusion de souffrir au quotidien, tu entends tes connaissances marmonner des sottises. Pourtant il est jeune. Je suis jeune. Ah mais que va-t-il devenir lorsqu'il sera vieux? Il exagère, c'est certain. C'est certain que je me réjouis de souffrir. C'est pour ça que je ne peux plus prendre mon violon, et que chaque fois que je l'observe je me remémore la joie d'être sans douleur..! Dorénavant, je ne suis qu'un fainéant observant la nostalgie. Par plaisir! C'est une certitude; je suis heureux de ne pas m'accomplir! Imbéciles.
L'humanité est horrible. J'arrive à sourire simplement parce que j'ai pitié. Pitié de ce monde pitoyable. C'est pitoyable, non? Si. Si. Si. Dis-je me remémorant cette note. Do, ré, mi, fa, sol, la, si, do. Un effroyable sourire s'afficha. Je ne peux que les exprimer en chant, je n'arrive plus à les jouer. Le temps efface la mémoire de mon corps. Mes réflexes. Je n'ai plus rien du passé, sauf si je signe un contrat avec la douleur, la peine.
Un rêve qui doucement tarde, et puisqu'il tarde, je ne suis plus un génie, une exception. Je suis dans la moyenne. Tant pis, la scène n'est plus pour moi.
Bienvenue au Chagall. Bienvenu à l'odeur de café qui s'infiltre dans mes narines. Est-ce que les gens peuvent me comprendre? Probablement, pas. Ils peuvent être emphatiques, mais souffrir avec moi, c'est trop épuisant. Ils ne peuvent pas sympathiser. Oh toi l'ingénieur, l'entrepreneur, le mafieux, le leader, l'antihéros… oh mais qui es-tu à la fin? J'en ai aucune idée. Je suis peut-être con d'avoir des préjugés, cependant je sais très bien que dans ta tête, tu te fous de moi. Je ne suis qu'un serveur de café, je suis trop vieux pour être un exploit.
Noerphilie? Oh toi, miss Harmonie, sais-tu à quel point tu terrifies, certains? Moi, je n'ai pas peur de toi, je m'aventure dans ton monde.
Un chat, en plus, pour me réconforter? Pourquoi pas? C'est un magnifique partenaire indépendant. Il te regarde avec ses yeux ronds, de peur ou d'affection. Je ne le comprends pas, mais étant mon premier admirateur, je ne peux pas me détacher de cette affection que je lui porte. En fait, qui se ressemble s'assemble. Oui, je suis comme toi, boule de poils. J'étouffe les gens de ma présence, mais ma peine les réconforte.
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| QUALITES ♦ Compréhensif ♦ ♦ Discipliné ♦ ♦ Talentueux ♦ ♦ Acharné ♦
DEFAUTS ♦ Misérable ♦ ♦ Souffrant ♦ ♦ Nostalgique ♦ ♦ Sarcastique ♦ ♦ Présomption facile ♦
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| Persona Nom : Doréneko Toi, boule de poils. Tu te fonds avec la nuit, tu es le symbole du malheur pour autrui. Pour moi, tu représentes la chance. La chance de me reconnecter avec ma moitié. Ton pouvoir, ne me détruit pas, il me soulage. Tu me soulages, boule de poils. Oui, oui... tu me soulages. Tu me soulages. Tu me soulages. Tu me soulages! Anti-douleur.Le persona absorbe la douleur de son violoniste, pour ensuite la transférer à autrui. Plus Fuijin devrait souffrir, plus la pauvre victime souffre d'avantage. Un cercle vicieux. Si le chat focalise la souffrance sur qu'une simple victime, le maximum que cela peut causer est une perte de conscience. Alors, l'intimidé ne sera jamais sur le point de mourir. Il sera simplement courbé, peut-être inconscient, pour oublier la douleur. Habituellement, elle débute banalement aux poignets, puis aux bras… puis aux jambes, puis au dos. Ensuite, le degré augmente. Tranquillement, mais sans hésitation. |
Fuijin Kimura Un nom comme les autres. Puisqu'il n'est pas si créatif, je possède aussi un code numérique, qui ne faut pas que je vous refile. Je suis un numéro, je n'ai pas le droit au privilège de l'humanité. L'humanité, c'est que pour les meilleurs d'entre nous.
Mes souvenirs sont douloureux, alors je ne vous raconterai pas les détails peu pertinents, comme ma naissance. Je vous raconterai le plus important; l'histoire d'amitié entre moi et mon compagnon de vie, le violon.
J'étais jeune lorsque je reçu cette oeuvre d'art. C'est une dame aux cheveux teints qui me rendait visite, chaque soir, pour m'enseigner l'art de la vibration d'un tel l'instrument. La mélodie éveillait en moi une variété d'émotion; la musique, 'c'est ma destiné' avais-je cru. J'ignorais ce que le futur me réservait. Que tout ce temps à m'acharner, à me construire, serait une perte de temps.
La douleur apparut soudainement. Elle persista et s'amplifia chaque jour. Je l'ignorais. Je performais. Je devenais un prodige. Les gens souriaient. Je pouvais leur transmettre le bonheur. Mon malheur s'effaçait. Je continuais. Encore, encore et encore. Des compétitions, des prix, des victoires. Ma fierté. Mon identité.
Encore, encore et encore. Je continuais. Je ne pouvais pas m'arrêter. Les cordes du violon étaient devenus mes veines. Je ne suis plus qu'un. Je souffre, je souffre. Je continue, je continue. Je refuse d'abandonner. Je veux continuer d'être moi-même. D'être un prodige. Même si je dois me couper les veines, même si cela mène à la mort... je continuerai.
Mes poignets lâchent. Mon violon frappe violemment le sol. Il se décapite sous mes yeux. Les globes oculaires des spectateurs s'agrandissent. Leurs mains se crispent. Les autres participants me glissent un sourire. Ils vont me vaincre, non, ils m'ont vaincu. Je viens à la rescousse de mon violon. Je l'empoigne. Je continue. Un son brisé, une mélancolie. Je perds. Je perds mon identité.
Je l'ai trahi, je ne suis plus digne de porter glorieusement le titre 'violoniste'.
Après? Je ne me souviens plus; ces années sont insignifiantes. Je ne suis plus moi, je suis qu'un cadavre dont le souffle se caféine. Je me réveille de ce cauchemar, parce que toi blondinette m'offre une chance de me retrouver. J'entre dans ton jeu, accompagné d'un violon. Tu juges que mon violon n'est qu'un faible associé alors tu m'envoies ce… ce truc. Un chat, en d'autre mot.
Je rejoue, je me dupe. Je veux tellement croire en ce rêve. Je m'aveugle, j'oublie mon statut social. Oh, boule de poils, qu'en penses-tu? Qui es-tu? Un salut ou une malédiction? Vous Nom/Surnom : Devinez? Âge : ^ Sexe : ^ Un ptit mot ? Vous me connaissez peut-être. Comment avez-vous connu le forum ? Je suis un double. Code du règlement : K U M ADes suggestions, des compliments ? Le design & le concept sont exceptionnels. Avez-vous penser à signer le règlement ? Je l'ai déjà fait avec mon autre mwa, est-ce nécessaire? Anyway, done it again. Et le bottin des avatars ? http://www.zerochan.net/475271 - Artiste : Eiri
Dernière édition par Fuijin Kimura le Jeu 24 Mar - 20:26, édité 14 fois |
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Invité | Sujet: Re: La nostalgie d'un violon - Fuijin. Jeu 17 Mar - 6:27 | |
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| Bienvenue sur Persona Fuijin ! C'est marrant, tu as le même nom de famille que mon DC. xD |
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| Sujet: Re: La nostalgie d'un violon - Fuijin. Jeu 17 Mar - 9:18 | |
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Invité | Sujet: Re: La nostalgie d'un violon - Fuijin. Jeu 17 Mar - 9:50 | |
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| Bienvenue par ici ! Bon courage pour ta fiche ! |
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| Sujet: Re: La nostalgie d'un violon - Fuijin. Jeu 17 Mar - 16:00 | |
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| Bievenuue ! Je m'occuperai de ta fiche |
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| Sujet: Re: La nostalgie d'un violon - Fuijin. Jeu 24 Mar - 20:37 | |
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| Merci de votre accueil! ღ
Je crois avoir finalisé ma fiche, si vous voyez encore des erreurs, n'hésitez pas à me le mentionner; je les corrigerai!
Je m'ajouterai à la fiche de DC lorsque je serai validé(e)! Au plaisir de continuer de partager des moments avec vous tous ღ
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| Sujet: Re: La nostalgie d'un violon - Fuijin. Jeu 24 Mar - 21:43 | |
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| Re-bienvenue alors ! ~ Beaucoup aimé lire, hâte de voir ce qu'il va donner ce petit. |
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| Sujet: Re: La nostalgie d'un violon - Fuijin. Sam 26 Mar - 22:53 | |
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| ...Je ne sais toujours pas qui tu es Dx Anyway, ne te fais pas de soucis : Le Pendu lui correspond tout à fait J'aime particulièrement ton style d'écriture. C'est léger, ça se lit facilement. Je regrette juste le fait de ne pas avoir d'indication sur le lieu précis où il est né mais ce n'est pas grave, l'essentiel y est donc je ne vais pas te pénaliser pour ça. Concernant le pouvoir, ça me parait bien dosé. Puis un kuro neko, c'est trop mignon '^' Tu es validé ! Amuse-toi bien avec ton DC ~ |
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| Sujet: Re: La nostalgie d'un violon - Fuijin.
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