Invité | Sujet: Mélancolie | terminé Mer 23 Sep - 17:15 | |
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| MELANCOLIE ŌNO / SKOLL | 18 ANS ♦ DEMOISELLE ♦ FRANCO-JAPONAISE ♦ HETERO-BICURIEUSE ♦ IMPERATRICE ♦ ETUDIANTE | A Iteku : Mélancolie est avant tout une jeune fille sérieuse. Très douée depuis son plus âge, elle donne une très grande importante à l’éducation et à l’école de manière générale. Elle préfère se priver de vie sociale le week-end pour mieux travailler une matière sur laquelle elle peine. Aussi, vous ne la verrez jamais sécher ou aller en cours sans avoir fait ses devoirs. Elle se couchera tôt, se lèvera tout aussi tôt pour arriver à l’avance, notera toutes remarques du professeur et révisera quinze semaine à l’avance. C’est ainsi qu’elle raisonne : elle adore apprendre toujours et davantage, et ce malgré ses facilités évidentes. Avec tout ça, vous pensez surement que Mélancolie est une jeune fille mature en proie à devenir une vraie jeune adulte ? Eh bien, non. Mélancolie est une véritable gamine. Certes elle travaille bien, mais cela ne l’empêche pas d’avoir l’âge mental d’une enfant. Paillette, peluche, dessin animé : tout y passe. Elle ne sait pas gérer son argent, achète tous les goodies ou gadgets qu’elle trouve mignon, fond complètement devant une robe à petit nœud, et rêverait d’ouvrir un bar à chat. Elle est passionné de manga et d’anime depuis sa plus jeune enfance, grâce à son père, et peine à sortir de cet univers. Mais son immaturité ne s’arrête pas là. Mélancolie est capricieuse. Lorsqu’elle veut quelque chose, elle le veut, maintenant. Et de même, lorsqu’elle ne le veut pas, elle le dit haut et fort. En soit, on peut trouver cela plutôt honnête de sa part, même si la demoiselle ne le fait pas par besoin de sincérité, mais juste parce qu’elle ne sait pas prendre sur soi. Elle est naturelle voire même un peu trop. Elle manque considérablement de tact, ce qui fait qu’elle n’est pas forcement agréable à dire. Vous avez beau être sa meilleure amie, si elle vous trouve moche dans ce t-shirt à poids, elle vous le dira cash. Et bien sûr, tout ça va de pair avec son comportement de petite princesse embourgeoisé. Politesse, manière et retenue, voilà comment elle se comporte face à des inconnus. Ses parents lui ont inculqué la politesse moyenne, mais ses grands-parents eux, ont insisté pour que la petite suive des cours intensifiés. Ainsi, avec l’envie de faire bonne impression, Mélancolie n’aura aucune peine à vous-voyez, à faire la révérence et à bannir les injures de son vocabulaire. Se tenir droite, les mains sur la table, les jambes alignées. Habitudes qu’elle a du mal à abandonner, même auprès de ses amis. Et parlons en des amis. Vu comme ça, Mélancolie semble pénible, non ? Pourtant détrompez-vous, elle est très sociable. Elle aime aller vers les autres et les aider, elle est du genre à se porter volontaire pour nettoyer la salle de classe, vouloir devenir délégué ou intégrer les nouveaux élèves. Et elle a beau être têtue et pourrie-gâtée, Mélancolie a le cœur sur la main. Elle est avenante et souriante, une chaleur émane naturellement d’elle si bien qu’il est facile de se lier d’amitié. Comme il l’est de briser ce lien. Vous avez dû le comprendre, Mélancolie est spontanée. Ainsi, elle n’a aucun self-control et ne sait pas se retenir. Etant donné que ne pas être de son avis, c’est être un ennemi, Mélancolie s’énerve très facilement. Elle part au quart de tour, et redescend aussi vite. C’est une montagne russe de sentiments. Ainsi, il vous arrivera souvent de la voir revenir vers vous, la tête baissé, les yeux au bord des larmes, en vous demandant pardon. Oui, elle n’a pas de mal à s’excuser, car malgré son âge, Mélancolie n’a pas du tout confiance en elle. Elle tente de le cacher, mais lorsqu’elle est en tort, elle pense devoir mériter le pire châtiment au monde. Oui, elle est fragile. Moquez-vous d’elle, ou attendez que sa colère passe, et vous al verrez, toute penaude, les joues rosies par la honte, se mettre en boule dans un coin. Qu’est-ce qu’elle mignonne lorsqu’elle comme ça. Après tout, Mélancolie serait presque naïve. Une princesse capricieuse mais naïve, chiante mais chaleureuse. Il est si facile de se jouer d’elle, elle qui adore voir du monde et qui s’achète si aisément en bonbons et autres bêtises… Enfin, attention les yeux. Mélancolie adore parler de garçons et autres choses plus délicates. Elle est d’ailleurs très ouverte à ce sujet, et ne refuserait pas un bon yuri. Elle l’assume ouvertement et n’a aucune honte à en parler. Elle fait même la pro et conseille ses amies dans leur relation ! Et pourtant, elle n’a aucune experience dans ce domaine. Je vous l’ai dis, des qu’on la met en position délicate, Mélancolie perd toute son assurance et devient un petit lapin inoffensif. Alors imaginez là en face de quelqu’un pour lui avouer son amour ? Jamais. Ah Mélancolie…
Physiquement, la demoiselle mesure dans les 1m59 ce qui fait d’elle une fille globalement petite. Elle a un poids plume, ce qui permet de la porter sans trop de difficulté. Elle a de courts cheveux blonde, une lourde tignasse épaisse qu’elle porte souvent détaché. Elle s’habille plutôt normalement, même si elle a un énorme penchant pour tout ce qui kawaii, comme vous l’aurez deviné. Il n’est pas rare de la voir lors d’un rendez-vous entre copine débarquer avec un costume de chat, ou autre petite chose mignonne. Elle a des yeux bleu. Elle porte des lunettes de temps à autre lorsqu'elle est devant un écran. Elle se maquille rarement, un brin de mascara lui suffisant.
En Noerphilie : Globalement Skoll est différente de Mélancolie. Skoll, vous savez à quoi ça me fait penser ? On dirait lettre pour lettre le nom du fils de Fenrir, le loup de la mythologie viking. L’histoire raconte que Skoll (répulsion) et Hati (haine) avaient chacun pour but de pouchasser les astres de lumière, Skoll poursuivant la Lune et Hani le soleil. C’est beau tout ça non ? Je m’égare. Skoll, notre Skoll, est une jeune femme sure d’elle. Fière de son corps voluptueux et de ses formes, elle n’a aucune crainte et assume pleinement son mental tout autant que son physique. Elle sait jouer de ses charmes, et n’a aucune pudeur à le faire. Malgré ce côté-ci, Skoll reste une personne très froide. Elle n’aime pas forcement la foule et n’a aucun problème avec la solitude, bien au contraire. Ce qu’elle préfère ? Se balader et partir à l’aventure. Oh, elle est très rationnelle. Pour sa propre sécurité, elle n’ira pas seule dans les endroits dangereux, et se trouvera sans problème un petit escadron avec qui patrouiller. Mais rien de plus ne la liera à eux : elle n’a aucune peine a se servir des gens pour subvenir à ses fins. Indépendante, elle n’en reste pas moins une personne fiable. Si vous arrivez à lui plaire assez pour qu’elle se lie d’amitié avec vous, alors je vous le jure, ce sera une amitié sans fin. Fidèle et protectrice, elle sera votre chevalier servant et vous accompagnera dans tous vos périples. Peu de monde autour d’elle, oui, mais #seulslesvraiscommptentsisi. (pardon, petit écart) Enfin, Skoll est méfiante. Cela se joint à son comportement global. Sur la défensive, elle observe, analyse, et parle peu. Le seul trait qui la lie à Mélancolie, doit être la franchise et le manque de tact. Elle sait rester de marbre face à une injure, certes, mais si on la pousse trop loin, elle répliquera avec de jolis mots bien dosés, mais tout aussi bien tranchants. La parole, c’est une arme, et Skoll la manie parfaitement. Un sourire narquois arborant ses lèvres pâles, elle vous lancera une réplique cinglante sans broncher. Et au combat, c’est tout autant. Pour terminer, je dirais que Skoll reste fainéante. En excursion, pas de problème, la demoiselle s’active sans problème. Mais lui demander de vous rendre un service, ou de faire quelque chose de fatigant qui ne l’enthousiasme pas tant que ça… niet. Skoll s’éclipsera sans soucis. Une jeune femme mure, solitaire mais fidèle, voilà comment je la définirais.
Skoll a physique different de Mélancolie. Sa chevelure est noir, mais les pointes se teintent de rouges. Elle porte toujours ses cheveux détacher. Elle porte un pantalon noir fait de cuir avec quelques détails argentés et rouge. Une brassière noire moulante en guise de haut. Un décolleté plongeant est largement accessible. Elle porte des gants de même couleur et une veste plutot courte, ainsi que des bottes de cuir noir, moulant son mollet. Pour finir, ses iris sont d'un pourpre sublime, mais difficile à supporter. Et enfin, elle a deux cornes sur la tête, à l'aspect métallique. |
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| True Self Nom : Téléportation Description Skoll est capable de se téléporter. Sur une distance de 50m, elle est capable d’aller à n’importe quel endroit qu’elle voit. Elle ne se téléporte pas à un endroit dont elle pense, mais à un endroit qu’elle est capable de voir en ce moment même. Lorsqu’elle se téléporte, une fumée noire apparait et disparait en même temps qu’elle. Bien entendu, ce pouvoir la fatigue et surtout, lui donne la nausée si elle l’utilise trop de fois d’affilée. Elle est capable de transporter quelqu’un avec elle, mais cela l’use davantage. Enfin, Skoll est une combattante très redoutable, étant donné sa mobilité et son agilité. Son pouvoir, elle le considère donc comme une véritable arme. |
Mélancolie est née en France. Logique, vu son prénom n’est-ce pas ? Je vous ai épargné son second prénom, quel gentil narrateur suis-je tout de même. Bref. La mère de Mélancolie est une française pure souche, publicitaire pour une marque de cosmétique à renommé internationale. Lors d’un de ses voyages professionnels, elle fut amenée à rencontrer le père de Mélancolie, un jeune dessinateur japonais à l’imaginaire bien rempli. Je vais faire court : coup de foudre. Le nippon et la gauloise gardèrent contact pendant un an, puis l’homme ne pouvait vivre plus longtemps séparé de sa bien aimé : il prit le premier avion direction Paris et avoua son amour à sa Juliette. Roméo fut acclamé par cette dernière, qui lui ouvrit ses bras, son cœur et ses jambes ! Et ainsi la petite famille accueillit Mélancolie, une parisienne aux yeux un peu plus en amande que la moyenne. Vous l’avez compris, le père de Mélancolie dû abandonner son pays, sa culture, et sa famille pour se construire un nouveau nid douillet dans la province de Panam. Au début, tout fut aisé. Sa femme était en congé maternité, près de lui. Sa fille n’était qu’un petit bambin réclamant amour et lait premier âge. Mais rapidement, les choses se corsèrent. Maman Ōno devait retourner travailler, cela impliquait de nombreux voyages et de nombreuses absences. Le dessinateur se retrouvait donc père au foyer. Les premiers moi furent compliqué, mais rapidement, le papa prit goût à cette nouvelle vie. Il passa donc son temps avec Mélancolie. Il lui apprit le japonais et l’anglais, il lui apprit à être polie et le respect des autres. Il lui enseigna aussi sa culture, ainsi que le shintoïsme qui le berçait plus jeune. Des son enfance, Mélancolie fut donc abreuvé de savoir et de règles en tout genre. Et cela ne fit qu’accroitre son amour pour la connaissance. Elle finit par trouver l’école ennuyeuse tant son père est un enseignant modèle à ses yeux. Tout ce temps passé près de lui, à l’écouter, à apprendre. Elle grandissait et s’enivrait davantage pour la lecture, le dessin, le sport. Chaque discipline semblait la rapprocher de son paternel pour qui elle vouait une profonde admiration. Et ce dernier lui le rendait bien : ne cessant de la complimenter sur ses prouesses et de la récompenser, il finit par faire d’elle une adolescente capricieuse. Arriva donc ce qui du arriver. Maman Ōno toujours absente, voyait à chacun de ses retours sa fille de plus en plus distante. Mais toujours plus proche de papa Ōno. La jalousie d’une mère est indomptable, vous savez. Les tensions commencèrent, doucement, lentement, comme une braise sur laquelle Mélancolie soufflait inconsciemment. Le temps passe, Mélancolie grandit encore un peu plus. Elle prenait son indépendance, voyait de plus en plus ses amis. Son père commença à s’ennuyer : sa femme et lui etant déjà sous tension, voir sa fille unique lui echapper ne devait pas être le plus merveilleux des spectacles. Ainsi, pour ses 18 ans, il prit une grande décision. Il en informa tout d’abord maman Ōno, qui accepta sans grande conviction. Puis un jour, par pure surprise, il banda les yeux de Mélancolie. Lorsqu’elle recouvra la vue, elle se trouvait dans un aéroport. Son père, les larmes aux yeux alors qu’aucun mot n’avait été prononcé, la serra contre lui. Il lui avoua après cette douloureuse étreinte que pour le bien de tous, l’exile de Mélancolie était la meilleure option. D’après lui, il fallait qu’elle apprenne à se gerer seule et à etre indépendante. Et sa distance permettrait au couple de se retrouver, et de tenter une réconciliation possible. Et quoi de mieux que d’envoyer sa fille au Japon, à l’autre bout du monde ? Mélancolie accepta, sans vraiment avoir le choix. Les au-revoir furent difficiles, mais tant que ce n’est pas un adieu, ce n’est pas insurmontable, c’est-ce pas ? Ainsi Mélancolie arriva au Japon, dans la grande et moderne ville d’Iteku. Une cousine éloigné l’attendait à l’aéroport. Elle lui trouva une petite chambre etudiante, lui apprit à se servir des ligens de transports en commun, et lui donna quelques conseils pratiques. Après 1 mois, sa cousine repartie à Tokyo pour ses études, Mélancolie fit sa rentrée au campus de Gekkoukan. Et comme vous le savez certainement, à peine quelques jours après, cette historie phénoménale se produisit. Mélancolie, attaché à l’imaginaire et tout ce qui s’y rapporte, n’a pas hésité une seconde.
Aujourd’hui, elle peine encore à s’adapter loin de ses habitudes européennes. Elle parle le japonais couramment mais timidement, et son pays et sa famille lui manque. Néanmoins, cette nouvelle identité l’enthousiasme vraiment et la pousse à rester ici (même si elle n’a pas vraiment le choix). Et puis le Japon, c’est le pays du kawaii, Mélancolie rayonne ♪
Vous Nom/Surnom : Kazuha/Sneakiss Âge : 20 ans ♪ Sexe : ♀ Un ptit mot ? Nyah ? Comment avez-vous connu le forum ? Partenaire de Millenium, je crois ? Code du règlement : KUMA ! (?) Des suggestions, des compliments ? L'IDEE EST TROP COOL ! Non en vrai, j'vais surement faire un pavé mais : votre reglo est trop cool, rien que la partie sur 'pas de pitits groupes, et noyer les new arrivants sous les calins', j'trouve ça trop bien. Ensuite, le concept est juste géantissimement inspirant. Et puis, vous donnez pleins de details, et l'idée de tous ces rp differents, magique ! Et pusi le codage quoi, je pleure. Bref voilà, autant dire que j'ai hâte. *tête d'un gosse qui apprend qui va à disneyland paris* (yeah c'est ma tête devant vous)
Dernière édition par Mélancolie Ōno le Ven 25 Sep - 23:13, édité 9 fois |
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