A Iteku : Diego est un homme dans la fleur de l'âge. Issu d'une famille très riche, il a toujours tout eu à portée de main sans que rien ne le satisfasse jamais. En éternel insatisfait, il vit en espérant un jour trouver une occupation qui puisse le faire vibrer. Ce fut le cas lorsqu'il découvrit ce nouveau monde proposé en Noerphilie, et de ce fait il ne porte que très peu d'intérêt à sa véritable vie, dans laquelle il se suffit de se sustenter ou donner des nouvelles aux quelques personnes auxquelles il tient.

Il est constamment blasé et démotivé, comme si rien ne l'intéressait vraiment, et passe la majeure partie de son temps libre à se mettre sous alcool ou autres substances dont on taira le nom.

De par ses origines latines, il a la peau mate et les cheveux noirs et frisés, mais son stylé déjanté lui a valu un défrisage et décoloration qui lui firent les cheveux lisses et blonds platines. Look qui deviendra sa véritable apparence dans l'autre monde.

Diego a eu une vie de riche pourri gâté mais n'en reste pas moins une très bonne personne. Ayant le coeur sur la main, il a fait des dons à diverses oeuvres caritatives, et n'hésite jamais à venir en aide à qui est dans le besoin. Ses proches l'apprécient généralement pour sa personnalité complexe mais unique, parsemée de gentillesse et de générosité. Bien qu'il soit lunatique et qu'il s'énerve parfois pour rien, il reste relativement calme et évite de blesser autrui. Il a une très bonne compréhension de l'esprit humain, ce qui lui permet de comprendre n'importe qui, donnant parfois l'impression qu'il lit dans les pensées.

Très intelligent et analyste, il sait toujours comment arnaquer quelqu'un ou comment lui faire un coup de pute, mais s'en empêche constamment par fierté, ayant pour principe d'être loyal et droit.

En Noerphilie : Le nouveau monde a donné une nouvelle perspective à Diego : pour lui, il ne s'agit que d'un jeu à réalité virtuelle dans lequel tous les coups sont permis. Son principe par lequel il vivait, lui interdisant toute forme d'arnaque ou de malhonnêteté, n'était plus valable en ce monde. Bien au contraire ; s'il y avait un endroit où il pouvait se lâcher, c'était bien ici ! Un monde fictif où les actes n'avaient pas tant de conséquences que dans le vrai monde ... telles étaient les choses vues par Mingo. Il était devenu le vice incarné, et cette toute nouvelle expérience lui procura un tel plaisir qu'elle combla le manque de plaisir qu'il éprouvait dans la vraie vie.